Un premier entretien nous permet de faire connaissance et ainsi faire le choix ou non de débuter une psychothérapie. Une introspection permet d’identifier l’origine de la souffrance, et ainsi y travailler afin qu’elle ne soit plus toxique. Nous travaillons également sur le quotidien, la difficulté à gérer des crises, atténuer les angoisses, … Mon rôle, vous accompagner à l’aide de modèles interactifs. Ce sont des entretiens très réguliers, définis par un contrat librement accepté entre le patient et le psychothérapeute, dans le respect du secret professionnel et reposant sur une alliance thérapeutique.

Prendre la liberté d’exister.

Se donner le temps, comprendre que le choix est possible, se libérer des pensées qui emprisonnent et enfin vivre en accord avec soi même et ceux qui vous entourent… C’est possible !


La répétition, une hérédité encombrante


Dans notre vie certains événements, certains scénarios, se répètent, nous présentant régulièrement les mêmes situations douloureuses à surmonter, les mêmes conflits inextricables à résoudre. Comprendre son histoire, conscientiser les informations inconscientes permet de retrouver une dynamique créative plus propice à la réalisation, à l’épanouissement de la personne, et ainsi sortir des répétitions souvent inscrites par des transmissions intergénérationnelles.

L’image de soi, un miroir défformé


Il faut envisager l’image de soi sous la forme d’un ensemble d’affects, d’émotions, d’impressions subjectives… soumises aux expériences de la vie et à la façon dont on a affronté les difficultés. Comme son nom l’indique, c’est la façon dont on se perçoit, ce que l’on croit être, ce qu’on estime être capable de faire, ou la perception que nous avons de la façon dont les autres nous perçoivent… C’est un cliché de nous mais dans notre tête, avec un scénario du rôle que nous pensons devoir jouer… Mais c’est surtout notre perception de notre place au sein de notre famille d’origine qui organise est entraîne ce regard.

Violence subie, l’intégrer pour se reconstruire


Quand une expérience vient d’être vécue, il y a toujours un changement, car on ne peut pas faire en sorte qu’une chose qui s’est produite ne soit pas arrivée. Essayer d’oublier ce qui fait mal risque d’évoluer en rappel obsessionnel ou en somatisation, vouloir oublier la circonstance conduit à prendre de la distance avec celui qu’on était, mais, paradoxalement, accroche à l’événement. Or pour être libre de l’événement il importe de se rapprocher de celui qu’on était. Cela est souvent source de dépression face à la réalité, « je dois vivre avec « ça » ».
S’en suit alors 4 phases : l’acceptation, l’intégration, la réconciliation avec soi et enfin sa réhabilitation. 

Traumatismes enfouis, les jeux de rôle


Il n’est pas rare de retrouver dans le symptôme exposé lors d’une consultation, une compréhension qu’au travers de l’évocation d’un traumatisme enfoui d’un des parents, le consultant étant alors « acteur » de ce traumatisme et ce depuis l’enfance. La transmission peut être directe ou indirecte, dans ce cas elle est souvent non verbale, mais très active dans les gestes, attitudes, formes relationnelles,…
L’enfant perçoit les messages très tôt, il sait sans savoir, mais en revanche va « s’affubler » du costume et en faire une forme d’être dans sa dimension la moins positive. (peur de l’abandon, perte d’estime de soi, répétition de ce qui a été marquant voire rejeté intellectuellement…)4

Les différentes approches de votre thérapie

La thérapie systémique

Permettre à un individu, aux membres d’un couple, d’une famille d’évoluer vers un fonctionnement plus souple, qui ne met pas le système en danger mais autorisera les évolutions individuelles et la réalisation de nouveaux équilibres en fonction des évènements de la vie.

La thérapie cognitivo-comportemantaliste

Il s’agit d’une thérapie qui vise à remplacer les idées négatives et les comportements inadaptés par des pensées et des réactions en adéquation avec la réalité.
Elle permet à progressivement dépasser les symptômes invalidants tels les rites, le stress, les évitements, les inhibitions, les réactions agressives, la détresse à l’origine de souffrance psychique, l’anxiété, les troubles dépressifs, les troubles du sommeil, les conduites addictives, les troubles alimentaires…

La thérapie analytique

Elle tend à favoriser l’atténuation ou la disparition du symptôme et l’apparition d’une meilleure adaptation. Renforcer les mécanismes de défense et clarifier les conflits internes.

Choisir l’espace de sa thérapie

Au cabinet



5 Villa des Fleurs – 92120 Montrouge
Portable : 06.14.66.21.45
email : do.anton@me.com
(Plan d’accès sur la page : contact )

Par Skype


Isolés, vivant à l’étranger, ou ne pouvant vous déplacer (professionnels, handicapés…), la thérapie à distance est un moyen efficace et offrant une grande flexibilité horaire.

Pour cela, il vous suffit de prendre rendez-vous :
Portable : 06.14.66.21.45
email : do.anton@me.com

Après règlement de la séance par virement, transmission du pseudo skype ou des coordonnées téléphoniques et je vous contacte au jour et à l’heure que nous aurons organisés.

(+ dinfos skype sur la page : Thérapie à distance)